Le monde s’enroule en s’admirant.
Il tourne et vire à l’immonde lorsqu’il entraîne tout sur son passage.
Obstinément, il ne sauve rien, réduit ce qu’il rencontre à la corruption, participe à une plus ample dégradation encore, à une infatuation, lorsque parmi tous les points de l’univers, il n’en retient qu’un seul qu’il porte au zénith : lui-même.
À la logique totalisante ou totalitaire, en roulant, il rejette les dissemblances, les aspérités.

Qui n’a rêvé de le traverser, de franchir les distances, de s’évader de son point d’ancrage pour mieux revenir ?
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