Lorsque le mot prend possession de l’image, il la supplante, il la découpe, l’effeuille, l’altère, l’absorbe. Alors, elle se dissipe, se dissout dans le mouvement de la parole. Elle n’est plus image, mais rapprochement, remémoration, suggestion. Elle pénètre par l’ouverture d’une fenêtre et une autre histoire voit ainsi le jour.
L’objet devient alors un autre objet, le chalet un autre chalet, le voilier un autre voilier, le Colisée un autre Colisée, l’histoire, une autre histoire.

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